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  • Depuis le milieu du voyage, Isabelle songeait à l'après. Depuis la fin du voyage, elle avance. Tribulations intimes de la prospérité occidentale vers un train de vie plus équitable, la vie agricole et la reprise en main de la subsistance.

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04 avril 2018

Commentaires

Michel Fromm

Ce qui me surprend sur les photos c'est la "faible" houle constatée, alors que le vent semble très fort (embruns dégagés).
Étant comme vous le savez un marin occasionnel, je me demande pourquoi cette surface apparaît comme frisottante alors qu'on s'attendrait, sans doute à tort, à une mer plutôt déchaînée ? Y a-t-il une explication simple à cela ?

isabelle

@ Mitch : Bonne remarque. La mer grosse est en effet beaucoup plus dangereuse que les vents violents, quand on est si proches du rivage! C'est donc d'abord des vagues qu'on se protège quand on choisi un abri. Cette caleta par exemple a une entrée orientée vers la tempête de nord mais cette entrée présente une ample chicane qui brise la houle venue du détroit. A l'intérieur de la caleta, même vaste comme celle-ci, les rafales n'ont pas l'espace ni le temps pour développer un clapot, d'autant plus que nous sommes amarrés à la rive dos au vent. l'eau qui vole sur ces images ne vient pas des embruns (vagues qui se brisent) mais est arrachée à la surface par la force du vent et sa composante verticale et tournoyante.

Flora

Au fond de moi, cela ne me surprend pas cette fureur des williwaws, quand on s'approche de cette région, on sait que le risque est là d'en rencontrer... c'est pas ce que je regrette le plus de ne pas avoir connu en nous arrêtant au nord du golfe des Peines !
A la fois les photos d'Ariel et tes descriptions me les rendent bien "vivantes" !
Quelle énergie il vous a fallu aussi, j'admire !
La route suivie se précise, avec la carte du "cône Sud" que j'ai affichée dans ma chambre "Chiloé", je vais suivre facilement si tu continues à indiquer les coordonnées géographiques.
;-)

isabelle

@ Flora : C'est un phénomène absolument grandiose, je ne regrette pas d'avoir fait leur connaissance et de les avoir rencontrés à de multiples reprises. A Uriarte, c'est le nombre, la fréquence et la durée qui m'ont donné des cheveux blancs. Je me suis demandé si nous n'avions pas outrepassé notre permis de séjour chez eux, avec nos trois saisons l'une après l'autre?
Le jeu de piste continue....

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