Avez vous remarqué comment certaines tâches, certains projets, semblent absolument insurmontables à l’heure de s’y atteler ? Et puis, pas après pas, micro-action après micro-action, petit à petit, on progresse, on avance.
Le plus frappant exemple que j’aie vécu de ce mécanisme est la traversée d’un océan. Les premiers jours, en plaçant le point quotidien sur la carte, on a vraiment l’impression qu’on n’y arrivera pas en un siècle. Et puis, du fait qu’on avance quasiment chaque heure du jour et de la nuit, à la vitesse d’un vélo lent, ben on finit par voir le trait bouger. Un jour on se retrouve au milieu de l’océan, on a pris le rythme, on s’en fout un peu de où on est exactement, on ne doute plus trop qu’on arrivera de l’autre coté.
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