La raison pour laquelle j’ai mis avant-hier la ligne à l’eau avec tant de méthode, c’est qu’Ariel voulait des entrailles de poisson, de n’importe quel poisson, pour appâter son casier à crustacés. L’arrête de la morue qui fait 50cm de long et est encore garnie de pas mal de chairs que je n’ai pas pris soin de détacher tant il y en avait assez, devient illico presto une boette pour casier qui attire dans le piège de quoi me fournir un gros travail de décorticage. Mais je suis toujours volontaire pour ce travail minutieux, promesse de régals à venir.
Une morue et trois lieus pour la pèche à la ligne, un tourteau et trois étrilles pour la pêche au casier, quatre partout : la balle au centre. Les lecteurs réguliers de ce blog ont déjà noté la récurrence du thème de la pêche, non comme sport mais comme source de protéïnes et de délices.
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