Mini-Transitions


  • Depuis le milieu du voyage, Isabelle songeait à l'après. Depuis la fin du voyage, elle avance. Tribulations intimes de la prospérité occidentale vers un train de vie plus équitable, la vie agricole et la reprise en main de la subsistance.

LES AUTEURS

LE BATEAU


NOUS LOCALISER

Vers Le Grand Sud


Sénégal


Amérique Latine


Ressource Halieutique


Outil de traduction gratuite de site Internet












VOYAGE 2013


Voyage 2012


VOYAGE 2009

VOYAGE 2008


ABECEDAIRE


VOIR & ENTENDRE


Populations littorales

« Le labyrinthe des Chonos | Accueil | Fallokstay »

10 décembre 2017

Commentaires

Lolotte

Pfiou quelle aventure !....Merci pour tout ce partage.
Bisous bisous à vous,
Lolotte

Bernard

Bonjour

Bien que l'aventure paraisse redoutable, je vous envie presque et j'aurais aimé être à bord.
Depuis mon bureau la vie me paraît manquer de sel, et les embruns, déferlantes et autres, auraient sans doute remédié à mon problème.
Vos messages sont toujours aussi piquants, piquants parce qu'ils me rappellent que la vie et la nature sont là et que mon éloignement me fait souffrir de ne pas la cotoyer de façon aussi intense.

Nous ne sommes que des témoins de ce qui passe, choisir le confort douillet et la sécurité de la société moderne nous coupe de notre essence même, j'aime les témoignages des peuples dit "Primitif"

qui mettent en évidence le décalage entre nos vies modernes et la nature profonde de la vie qui ne peut se passer de la nature sauvage, puisque nous lui appartenons !

"Only to the white man was nature a wildness, for us it was bountiful and we were surrounded by the blessing of the great mystery"


bonne nav
Bernard

isabelle

@ Bernard :

Ma première réaction a été de songer “Enfin quelqu'un qui nous envie pour les bonnes raisons !” alors que tant de gens nous envient pour notre "liberté" (toute relative, entre les contraintes météo, administratives et techniques) , ou imaginent notre vie comme des vacances prolongées.
Peu de nos lecteurs et amis mettent le doigt comme vous le faites sur ce qui est sans doute le véritable privilège de notre vie actuelle, la possibilité de désapprendre et réapprendre , déconstruire et reconstruire, un rapport à la nature plus direct, plus soumis et aussi plus jouissif.


J'ignore dans quel environnement vous vivez. En ville, sans doute. La vie citadine nous éloigne de la nature et nous fragilise, ce qui nous en éloigne encore plus. Je parle un peu de cela dans mon autre blog. (http://jurancon-skol.typepad.fr/transition/2017/09/asimov-avait-raison.html)


Il reste encore beaucoup de modernité dans notre vie et nous n'avons pas renoncé au confort ni à la sécurité. Tout au plus tentons-nous nous d’affiner nos exigences (de combien de confort et de quelle sécurité avons-nous vraiment besoin?) et acceptons-nous d'endosser une part plus large de responsabilité, encore que sur ces deux chapitres, le juste niveau restât à trouver, comme le démontre notre aventure du Golfe des Peines.

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)