Les binômes sont penchés et actifs, chacun sur son ouvrage. L’atelier résonne du bruit des outils et du murmure des voix et sent délicieusement la résine. De temps en temps, un point technique est fait pour préciser un geste ou décrire les opérations suivantes. Au cours de la semaine, il est prévu que six capteur solaires à base de matériaux de récupération soient fabriqués. Plus une installation complète panneau-chauffe-eau animée par un thermosiphon.
Les trois jeunes ingénieurs (1) qui nous guident sont sereins. Ils ont installé une atmosphère d’artisanat tranquille, sans pression, une ambiance de travail telle que j’en ai rarement vu. Tout le monde est accordé à ce diapason, bien sûr. Les participants n’ont pas choisi cette formation low-tech pour se retrouver en high-speed !
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