Depuis trois ans et demie, ma vie de nomade des mers est financée grosso modo par les loyers de la maison dont je suis propriétaire en France (1). Je n'ai pour le moment pas besoin de chercher du travail en route pour poursuivre l'itinérance, quel privilège! En plus de ce patrimoine immobilier que représente la maison, je possède quelque capital financier, que j'ai pour la majeure partie confié aux bons soins de la banque éthique La Nef sous forme de comptes à terme longue durée (10 ans) avec la consigne de le consacrer à des prêts aux agriculteurs biodynamiques (*) biologiques de France et de Navarre.
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