Dans mes cogitations sur un monde meilleur, je sens parfois naitre en moi un élan à faire des propositions. Ça va bien de critiquer, de remettre en question l'ordre établi, mais pour faire la place à quoi, me dis-je. Comme je n'aime pas les situations désespérées, je m'y colle, je réfléchis à ce qu'on pourrait mettre à la place. Parce qu'il faut bien le reconnaitre, le système est drôlement verrouillé et si on n'y met pas un peu de matière grise en plus de la mobilisation, on risque de ne pas sortir des impasses.
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