La méditation annoncée sur mon rapport à la rusticité tarde à prendre forme. Ce n’est pas faute d’y consacrer du temps, depuis plusieurs années. Mais j’ai du mal à écrire, à formuler explicitement ma pensée. Crainte de dire des évidences, de me vautrer dans les idées reçues, de paraitre donner des leçons, ou de me dévoiler terriblement naïve ? Il y a deux ans j’ai à peine effleuré le sujet, dans une réflexion théorique sur le rapport de l’espèce humaine au confort. Il y a quelques mois je parlais d’une femme qui avait choisi, pour elle-même et pour ses deux filles, de renoncer au Confort Moderne. Ce que j’aimerai faire maintenant c’est parler de mon propre rapport à la rusticité, de manière concrète.
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