Chères et chers lecteurices, comment ça va pour vous en ces temps de dérive sociale et politique ?
Moi, la révision, par le nouveau locataire de la Maison Blanche, du lexique de la recherche autorisée m’a fait penser aux récits des premières années des dictatures chilienne, argentine brésilienne et uruguayenne que j’ai croisés là-bas il y a quelques années. Froid dans le dos. Froid dans le dos qu’un dirigeant du pays le plus puissant au monde conçoive un tel mode d’action sur la société. Glaçant que, semble-t’il, les administrations obtempèrent si vite, passent immédiatement à l’acte de supprimer des pages, des articles, des données publiques, de la recherche financée par l’état. Comment est-ce possible ?
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