Est-ce que je prends un vrai risque en publiant ainsi mon soutien à ce mouvement ?
J'en ai entendu parler dès le début, en 2020, par le simple fait de mes adhésions à quelques associations parties prenantes. Terre de liens, Les Amis de la Conf', La marmite 56, etc.... l'info venait de ces différentes sources en même temps, sources en lesquelles j'avais confiance, donc j'ai pris de l'intérêt.
J'ai adoré leur action spectaculaire aux cimenteries parisienne. Je suis tombée dans le panneau quand a été monté une sorte de tribunal administratif pour condamner l'accaparement de l'eau, prélude aux actions directes sur les mégabassines. Je suis pleine d'admiration et de reconnaissance pour le travail qu'ielles accomplissent, et la manière dont ielles le font, les temps et l'énergie qui sont investies dans cette protection des communs, les compétences d'organisation et de logistique mises en oeuvre.
Je souscris sans réserves à l'idée que tout le spectre de la non-violence doit être exploré, y compris le désarmement physique, c'est à dire une forme d'usage protecteur de la force.
J'espère que la justice entendra raison et que la mascarade de la dissolution sera promptement balayée.
Ces propos n'engagement que moi et aucunement les collectifs dont je fais partie.
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