Avez vous remarqué comme il est difficile d’avoir des récits de ce qui a mal tourné dans un collectif, écolieu, écovillage ? Et pourtant, il y a beaucoup de collectifs qui traversent des périodes douloureuses, des dislocations, voire des échecs. La version de l’histoire qu’on trouve, le plus souvent, sur la place publique, c’est à dire dans les réseaux, newsletters et sites internet, est un récit politiquement correct énoncé par celleux qui restent, soucieux-ses de relancer le recrutement pour combler les départs. On trouve rarement l’histoire racontée par celleux qui sont parti-es.
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