Depuis quelques semaines, l’abri sur lequel je comptais comme base pour mes activités Morbihanaises n'est plus accessible selon mes besoins. Comme la raison en est une difficulté relationnelle entre ma sœur et moi, faisant surface après dix-huit mois de co-confinements et autres cohabitations en période compliquée, il n’aurait pas été une bonne idée d’insister. Il va falloir du temps pour que ce qui n’a pas été dit soit exprimé ou s’apaise.
Je me suis donc retrouvée au pied du mur, en quelques jours: choisir entre renoncer aux engagements pris (processus de vente de mon bateau, mise en culture de nouvelles parcelles agricoles collectives, formation CNV et stage à la chambre d’agriculture) et franchir une marche de plus vers la précarité, défaire une couche de plus de confort matériel.
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